L’art urbain est en conflit avec le conformisme social, et est « sans doute » une des formes les plus vivantes de l’éducation populaire. Les violences policières, la lutte féministe, les migrations, la gentrification, un ministre accusé de viol, un maire qui transpire la corruption, etc, font partie des sujets que la population marseillaise considère essentielles à exprimer sur la place publique.